CE QUI S'EST PASSé VENDREDI EN FRANCE
Aujourd'hui c'est le grand jour, je rentre en France! Youpi!
Aujourd'hui c'est le grand jour, je rentre en France! Youpi!
Enfin, pas tout à fait...
La journée commence difficilement, il n'est que 6h30 et le réveil sonne et...oh c'est trop tôt!
Je suis encore fatiguée et c'est d'autant plus difficile de se lever lorsque je pense à ce qui m'attend aujourd'hui:
transports+attente+transports+attente+transports+attente+transports=DENTISTE!
Nous partons de la maison à 7h40 et profitons que Paulette emmène les enfants à l'école pour nous faire déposer à la gare.
J'ai décidé de faire le trajet avec le minimum vital: ma CB, ma carte d'identité, mon billet d'avion, un peu de liquide, un bon bouquin (La bête Humaine, Zola -depuis le temps que j'ai envie de lire ce livre :p) et l'essentiel: Mathieu (du moins pour une partie du voyage), qui a très gentiment proposé de m'accompagner à l'aéroport, ce qui a rendu le trajet nettement plus agréable :))
Aprés avoir zoné dans un Tramway et un bus, nous arrivons à l'aéroport vers 9h30, ce qui signifie que j'ai 3 heures à tuer avant le décollage, prévu à 12h25...
Et donc, nous avons fait ce qu'on fait toujours dans ces cas là: nous avons été boire un café! (au Mc Do parce que c'est moins cher). Je commence à avoir un peu faim, donc j'en profite pour manger des pancakes (si j'avais su que c'eût été mon dernier repas avant 20h00 le soir, j'en aurais pris deux fois!).
Mathieu pars vers 10h30 et je me retrouve seule dans cette gare trop pleine de gens, trop bruyante et tout et tout...Une seule solution: les boules quiès.
Je profite d'avoir du temps libre pour chercher un cadeau pour mon grand frère qui fête ses 30 ans ce WE. En fait, je trouve assez rapidement le magasin Guinness et porte mon choix (de très bon goût) sur une magnifique chope de bière Guinness. C'est un peu facile comme cadeau mais au moins je suis sûre que ça va lui plaire, et puis n'oublions pas que je suis en Irlande, donc il est normal que fasse un cadeau en relation avec la Guinness. :-)
Vers midi, je songe vaguement à m'acheter un sandwich mais je renonce en repensant aux paroles de Paulette: "achète ton sandwich dans l'avion, il sera moins cher et tout aussi bon!"...Grr!
Au bout d'une demie heure de "shopping" dans la zone internationale de l'aéroport, je commence à me lasser de tout ces produits prétendument bons marchés et pourtant ultra chers. Je préfère attendre en lisant mon bouquin.
L'avion décolle vers 13h00, et à ce moment là je ne pense plus qu'au délicieux sandwich qui m'attend dans l'avion. Hummmmm...
Je suis placée "rang 14", ce qui signifie que je suis au milieu de l'avion, ce qui n'est pas un problème en soi, SAUF quand on meurt de faim et qu'on voit tous les passagers situés à l'avant et l'arrière de l'avion se ruer sur les quelques collations proposées. Et ce qui devait arriver arriva, lorque ce fut à mon tour d'être servie, il ne restait plus rien à manger (entendez: "plus rien d'à peu près mangeable")...Devant ma mine déconfite, l'hôtesse de l'air essaie absolument de me refiler le petit paquet de cacahuètes à 3€ mais c'est NON. Je me résigne tout de même à prendre une barre chocolatée, histoire de calmer un peu mon estomac.
Ce fut un bien triste déjeuner et je me suis détestée d'avoir écouté le conseil de Paulette.
L'avion atterrit à Paris vers 15h40 heure locale, et je dois maintenant me rendre à mon RDV à l'autre bout de la région parisienne! Allez hop, direction le RER...euh, c'est où?
Je ne sais pas si c'est le manque de nourriture qui a affaibli mes neurones, mais j'ai un mal de chien à me repérer dans l'aéroport. D'ailleurs, ayant complètement oublié qu'il fallait prendre une navette pour aller à la gare, je cherche le RER B avec grande conviction. Je ne sais pas trop comment j'ai fait, mais j'ai finalement trouvé la navette assez rapidement et sans la chercher! Coup de bol.
Je ne sais pas si le trajet est payant, peu importe, je monte dans le bus et on verra plus tard.
A la sortie de la navette, je suis désormais bien inspirée de chercher le RER B. Arrivée presque devant les quais, se pose encore le problème du billet de train. Je cherche partout un distributeur ou un guichet mais je n'en trouve pas. Trop tard, de toute façon le train va partir, je fraude (assez facilement puisque le portique à valises est ouvert) et monte dans la première rame à ma portée.
Je me replonge tranquillement dans ma lecture et le laisse bercée par les ondulations du train. Dix minutes plus tard, je suis sortie de ma lecture par un vilain monsieur qui a crié tout fort: "contrôle des titres de transports". Aie...
40 € d'amende plus tard et un changement, j'arrive enfin dans la charmante bourgade de Saint-Quentin-En-Yvelines. Il est déjà 17h30 et mon RDV est à 18h00...J'ai pas beaucoup de temps mais en me pressant, j'espère pouvoir me poser 10 minutes chez ma soeur pour manger un morceau, faire pipi et me laver les dents. :-)
Je sonne à l'interphone du colloc de ma soeur, comme convenu puisque c'est lui qui est censé me donner les clés de l'appart de Claire. Pas de réponse...Ok pas de panique, je vais aller frapper à sa porte, peut-être que l'interphone ne fonctionne pas. Je profite que des gens rentrent dans la résidence pour me faufiler à l'intérieur (puisque sans clés, on reste dehors). Evidement, je n'ai pas plus de succès en frappant à sa porte qu'en sonnant à l'interphone. Là, ça commence à m'enerver, le temps passe et je n'ai pas que ça à faire! J'appelle ma soeur pour avoir une explication mais je tombe sur le répondeur. Grrr! Heureusement, c'est à ce moment là, qu'il a choisi d'arriver en s'excusant de son retard. Pardonné. Il ne me reste donc plus assez de temps pour manger, je me lave les dents et repars aussitôt.
Mon RDV chez le dentiste a été plutôt difficile. Je vous passe les détails mais sachez juste que j'étais contente une fois que ça a été fini. Malheureuemnt, je dois revenir le lendemain et probablement même le surlendemain, ce qui veut dire que mes soucis ne sont pas terminés.
Je passe le soirée chez ma soeur, seule, ou plutôt en compagnie d'une énoooooooorme pizza (obligatoire après la journée pourrie que j'avais passée). Je mange aussi une grosse grappe de raisin (du vrai, du français avec des pépins et tout et tout!).
CE QUI S'EST PASSé VENDREDI EN IRLANDEMathieu pars vers 10h30 et je me retrouve seule dans cette gare trop pleine de gens, trop bruyante et tout et tout...Une seule solution: les boules quiès.
Je profite d'avoir du temps libre pour chercher un cadeau pour mon grand frère qui fête ses 30 ans ce WE. En fait, je trouve assez rapidement le magasin Guinness et porte mon choix (de très bon goût) sur une magnifique chope de bière Guinness. C'est un peu facile comme cadeau mais au moins je suis sûre que ça va lui plaire, et puis n'oublions pas que je suis en Irlande, donc il est normal que fasse un cadeau en relation avec la Guinness. :-)
Vers midi, je songe vaguement à m'acheter un sandwich mais je renonce en repensant aux paroles de Paulette: "achète ton sandwich dans l'avion, il sera moins cher et tout aussi bon!"...Grr!
Au bout d'une demie heure de "shopping" dans la zone internationale de l'aéroport, je commence à me lasser de tout ces produits prétendument bons marchés et pourtant ultra chers. Je préfère attendre en lisant mon bouquin.
L'avion décolle vers 13h00, et à ce moment là je ne pense plus qu'au délicieux sandwich qui m'attend dans l'avion. Hummmmm...
Je suis placée "rang 14", ce qui signifie que je suis au milieu de l'avion, ce qui n'est pas un problème en soi, SAUF quand on meurt de faim et qu'on voit tous les passagers situés à l'avant et l'arrière de l'avion se ruer sur les quelques collations proposées. Et ce qui devait arriver arriva, lorque ce fut à mon tour d'être servie, il ne restait plus rien à manger (entendez: "plus rien d'à peu près mangeable")...Devant ma mine déconfite, l'hôtesse de l'air essaie absolument de me refiler le petit paquet de cacahuètes à 3€ mais c'est NON. Je me résigne tout de même à prendre une barre chocolatée, histoire de calmer un peu mon estomac.
Ce fut un bien triste déjeuner et je me suis détestée d'avoir écouté le conseil de Paulette.
L'avion atterrit à Paris vers 15h40 heure locale, et je dois maintenant me rendre à mon RDV à l'autre bout de la région parisienne! Allez hop, direction le RER...euh, c'est où?
Je ne sais pas si c'est le manque de nourriture qui a affaibli mes neurones, mais j'ai un mal de chien à me repérer dans l'aéroport. D'ailleurs, ayant complètement oublié qu'il fallait prendre une navette pour aller à la gare, je cherche le RER B avec grande conviction. Je ne sais pas trop comment j'ai fait, mais j'ai finalement trouvé la navette assez rapidement et sans la chercher! Coup de bol.
Je ne sais pas si le trajet est payant, peu importe, je monte dans le bus et on verra plus tard.
Les titres de transport que j'ai réellement utilisés ce jour-là et le lendemain : cherchez l'erreur !
A la sortie de la navette, je suis désormais bien inspirée de chercher le RER B. Arrivée presque devant les quais, se pose encore le problème du billet de train. Je cherche partout un distributeur ou un guichet mais je n'en trouve pas. Trop tard, de toute façon le train va partir, je fraude (assez facilement puisque le portique à valises est ouvert) et monte dans la première rame à ma portée.
Je me replonge tranquillement dans ma lecture et le laisse bercée par les ondulations du train. Dix minutes plus tard, je suis sortie de ma lecture par un vilain monsieur qui a crié tout fort: "contrôle des titres de transports". Aie...
40 € d'amende plus tard et un changement, j'arrive enfin dans la charmante bourgade de Saint-Quentin-En-Yvelines. Il est déjà 17h30 et mon RDV est à 18h00...J'ai pas beaucoup de temps mais en me pressant, j'espère pouvoir me poser 10 minutes chez ma soeur pour manger un morceau, faire pipi et me laver les dents. :-)
Je sonne à l'interphone du colloc de ma soeur, comme convenu puisque c'est lui qui est censé me donner les clés de l'appart de Claire. Pas de réponse...Ok pas de panique, je vais aller frapper à sa porte, peut-être que l'interphone ne fonctionne pas. Je profite que des gens rentrent dans la résidence pour me faufiler à l'intérieur (puisque sans clés, on reste dehors). Evidement, je n'ai pas plus de succès en frappant à sa porte qu'en sonnant à l'interphone. Là, ça commence à m'enerver, le temps passe et je n'ai pas que ça à faire! J'appelle ma soeur pour avoir une explication mais je tombe sur le répondeur. Grrr! Heureusement, c'est à ce moment là, qu'il a choisi d'arriver en s'excusant de son retard. Pardonné. Il ne me reste donc plus assez de temps pour manger, je me lave les dents et repars aussitôt.
Mon RDV chez le dentiste a été plutôt difficile. Je vous passe les détails mais sachez juste que j'étais contente une fois que ça a été fini. Malheureuemnt, je dois revenir le lendemain et probablement même le surlendemain, ce qui veut dire que mes soucis ne sont pas terminés.
Je passe le soirée chez ma soeur, seule, ou plutôt en compagnie d'une énoooooooorme pizza (obligatoire après la journée pourrie que j'avais passée). Je mange aussi une grosse grappe de raisin (du vrai, du français avec des pépins et tout et tout!).
...condensé : entretien avec Canada Life à BlackRock (station de train en bord de mer à laquelle on accède en prenant la direction Grey Stones - véridique!)
Après toute une journée passée dans les transports (train jusqu'à Dublin, bus jusqu'à l'aéroport, re-bus jusqu'à Dublin, train jusqu'à Blackrock, re-train jusqu'à Busaras), le clou du spectacle a été l'enfer pour prendre le dernier bus à Busaras... D'habitude ça se passait bien, mais là on était vendredi et c'était un bordel innommable.
En résumé :
- impossible de prendre le 111 de 15h30 car il était plein.
- attente du 109, qui finalement part sans qu'il y ait eu d'embarquement (il était sûrement déjà plein). On s'en aperçoit (moi et les autres personnes qui l'attendaient) 10 minutes après.
- attente d'un autre 109 : au moment de monter, le chauffeur me dit qu'aujoud'hui il ne vend pas de billets, je dois faire la queue au guichet dans la gare (20 minutes de queue, le 2e 109 part sans moi)
- troisième 109 : on est pleins, attendez le prochain
- quatrième 109 : je peux enfin monter , mais je mets 1h40 à rentrer à cause des embouteillages.
- à l'arrivée, je me rends compte que le 111 de 17h est arrivé avant mon bus, alors que j'étais à busaras depuis 15h20 ! :-)
Après toute une journée passée dans les transports (train jusqu'à Dublin, bus jusqu'à l'aéroport, re-bus jusqu'à Dublin, train jusqu'à Blackrock, re-train jusqu'à Busaras), le clou du spectacle a été l'enfer pour prendre le dernier bus à Busaras... D'habitude ça se passait bien, mais là on était vendredi et c'était un bordel innommable.
En résumé :
- impossible de prendre le 111 de 15h30 car il était plein.
- attente du 109, qui finalement part sans qu'il y ait eu d'embarquement (il était sûrement déjà plein). On s'en aperçoit (moi et les autres personnes qui l'attendaient) 10 minutes après.
- attente d'un autre 109 : au moment de monter, le chauffeur me dit qu'aujoud'hui il ne vend pas de billets, je dois faire la queue au guichet dans la gare (20 minutes de queue, le 2e 109 part sans moi)
- troisième 109 : on est pleins, attendez le prochain
- quatrième 109 : je peux enfin monter , mais je mets 1h40 à rentrer à cause des embouteillages.
- à l'arrivée, je me rends compte que le 111 de 17h est arrivé avant mon bus, alors que j'étais à busaras depuis 15h20 ! :-)
3 commentaires:
Aie... Ouille... Bonjour la France, France. Finalement l'Irlande, ce n'est pas mal. Les trajets sont longs, chers, mais avec surprises. En France, les controleurs sont sans surprise. Nous pensons bien aux dents de France et aux rendez-vous de Mathieu. Merci à Paulette et Jack pour leur organisation sans faille, dès qu'il s'agit de faire la fête et de montrer leur affection.
H
J'y vais mollo.
France, j'ai lu et j'en suis malade pour toi.
Dans les documents, c'est la carte Navigo de Mathieu. Qu'escque je gagne ?
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